et une annoncepk pas

03/02/2024

Lun 5 Fév 2024 - 22:21, et une annoncepk pas

03/02/2024

Mer 14 Fév 2024 - 20:37, Re: et une annoncepk pas

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Ft. Asmodeus

03/02/2024

Mer 28 Fév 2024 - 21:07, Re: et une annoncepk pas

It's
a
freak
Show

Nora rosenhart 125 ans elle/la nosferatu 5G Allemande
membre de la custodia

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Chair 75% 25% Esprit

Physique 42%

Réflexion 42%

Conscience 41%

Elle a souffert Nora, de ne se sentir à sa place nul part, de n’être qu’une étrangère de plus qui s’inscrit sur un tableau de chasse. Nora, c’était la folie couvée par le poids de ses insécurités,la peur de n’être qu’une existence vaine, de n’être qu’un cycle ininterrompue d’une farce un peu trop cruelle. Peur d’être consumé par la rancoeur. D’oublier la douceur d’un rire sincère, d’une joie si pure, si belle si légère, que son coeur s’en trouver gonflée jusqu’à s’étourdir d’ivresse. — Rosenhart c’est le nom qui lui a été donné lorsqu’elle a été transformé. Elle s’y est attaché, médaillons gravé à son collier comme une laisse invisible qu’on lui aurait rattaché. — Nora, elle prend soin de son apparence, petite poupée superficielle, avec ses lèvres au goût de champagnes et aux pensées inavouables. Elle est le fruit pourrie d’une lignée gangrénée, un mensonge forgée à même la chaire faisandée qu’elle avait appris à façonée. — Elle n’est le coeur que d’une seule cause, a selfless bitch vouée aux ambition d’un seul maitre, le prince est sa croix et sa bannière, l’objet de sa dévotion et de tous ses travers — La tête vaste et poreuse, le verbe tendre et rêveur, elle sait se faire charmante, d’un accent un peu dur, un peu grave lorsque la pointe de sa langue vient tailler les syllabes, en affuter les contours jusqu’à en arrondir les angles.

Nora, elle est hideuse.
Quand elle était petite, elle rêvait d’être comédienne. Elle voulait porter de beau costume bardés d’ors et de diamants. Elle les avait même imaginé, bleus comme les cieux, bleus comme les yeux de son amoureux. Mais voilà, Nora, elle était laide. Elle ne pouvait être une étoile traversant le ciel avec des traits pareils. Elle qui était plus bête qu’humaine, dont la disgrâce s’articulait dans la crasse de la bassesse humaine. Alors Nora avait troquer sa jolie robe pour l’absurdité des vêtements informes, le plancher des théâtres pour la cour des chapiteaux. Et elle riait, riait d’eux, qui étaient petits, si petits et insignifiants, terriblement ignorants, affreusement stupides.

Alors Nora, elle portait mal son prénom. Il n’y avait ni gloire ni pardon dans le corps de l’enfant monstre que l’on roulait dans la fange. Elle n’est pas bonne, il suffit juste de la fixer un peu trop fort pour s’en rendre compte.

1

Still a beast bitch?

Nora, elle n’était plus le monstre d’autrefois. Nora, elle était merveilleuse.

2

Yo t’entends des voix?

Elle y a céder une fois. A cette chose qui sommeil, tapis au coeur des viscères. Aussi laide qu’Hildegarde, aussi laide que celle qu’elle était autrefois. Mais elle bouche ses oreilles Nora, elle secoue très fort la tête en l’ignorant chaque fois.

3

Ton ancienne vie?

L’odeur des pommes caramélisés, le goût si particulier des déjections animales et de la bière de mauvaise qualité.

4

Quelle est la chose la plus importante?

Celui qu’elle a choisit de servir, qui apaisé la mort de Sibel dans le labyrinthe de son esprit.

1905

Elle eut six ans lorsque son père l’abandonna, vendu à un cirque itinérant. Enfant monstre, singe savant, son rôle changeait en fonction des destinations.

1913

C’est à 14ans qu’elle aima pour la première fois. Il s’appelait monsieur Alois, paysan d’une petite bourgade des provinces sudistes. Monsieur Alois lui avait offert une peigne de bois pour démêler ses boucles emmêler, il lui avait sans cesse répété « tu as un beau sourire Hildegarde ». Alors ce n’était pas si grave s’il se tenait tous les soirs sur les bancs de l’esplanade. S’il riait à s’en fendre la mâchoire lorsqu’elle se trainait dans son bassin de bout en poussant des cris de bête. Elle gardait ses éclats comme un voeu pieu. Une promesse qu’un jour, tout irait mieux.

1918

La guerre leur avait pris beaucoup. A elle, elle lui avait arraché son cirque et son illusion de famille. Elle était devint vagabonde. La bête hantant les rues de Stuttgart.

1928

Elle était devenu la légende urbaine de la ville verte. Un monstre qui n’avait de monstrueux que le faciès qu’on y rattachait. Elle était pathétique. Elle se demandera si c’était la compassion qui avait guider les crocs qui s’était accroché à sa jugulaire. Si elle pourrait être un peu plus que « laide ».

1929 - 1944

Elle apprit qu’il n’y avait que sa créatrice pour l’aimer. Elle qui l’avait renommé, qui se l’était accaparée, qui la conservait à ses côtés comme un précieux secret. Ou un simple roquet. C’était la seconde fois qu’elle aimait. Elle qui aujourd’hui s’appelait Nora, Nora qui se trainait dans l’ombre de Sibel. Nora l’informe qui ne vivait qu’à travers son regard à elle. Sibel, tendre Sibel lui appris le monde et les rouages à travers le prisme des gens de leurs espèce. Sibel, douce Sibel lui fit voir que ce n’était pas si grave si elle était laide. A 45 ans, Nora se sentait comme comprise. Heureuse. Euphorique, presque. Frénétiquement dévouée à celle qui l’avait sauvé.

1959

Il y avait quelque chose d’étrange, dans toute cette dévotion, dans cet abandon de sois pour l’autre, à travers l’autre. Nora qui était l’ombre de sa maitresse, qui s’abreuvait de son approbation comme si elle était la lumière qui guidait son pas incertain. La dépendance était si forte, si absolue qu’elle en avait mal Nora. Elle avait mal de trop aimé, mal lorsque Madame la rejetait. Et ça arrivait tant ces derniers temps. Si souvent qu’elle avait sentit ses pleurs percer les murs. Si souvent qu’elle se désespérait à faire preuve d’utilité, à lui donner une bonne raison de l’aider. Elle que l’on n’avait jamais désiré. A Nora qui pouvait si aisément être remplacer. Mais elle avait le médaillon de Sibel imprimé jusqu’au creux de sa chair. Alors tout irait bien. Oui, tout irait mieux. Nora saurait la rendre heureuse.

1984

Mais leurs tragédies prenaient le goût du drame. A Sibel qui voulait toujours plus, plus d’influence, plus de pouvoir. Plus d’elle aussi. Plus de Nora qui ne l’aimait pas assez fort. Plus de Nora qui oserait vivre pour les autres. Ou pire, pour elle même. Sibel dont les mots se faisaient de plus en plus dur. Sibel dont les rejets marbraient les murs de leur demeure. Sibel dont l’emprise se faisait si forte, si puissante qu’elle en devenait fatalement étouffante. Elle l’étouffait Sibel. Elle la gangrénait. Alors elle l’avait tuée. Eventrée. Elle avait eu si mal Nora qu’elle avait sentit sa raison s’envoler. Sibel… Sa douce Sibel….

1985 - 1990

Ils avaient voulu sa tête. Pour la vie de Sibel, et Nora elle avait souhaité la leur donner ou presque. Elle y avait songé si fort, à simplement baisser les bras. A la rejoindre, retrouver son rire qui tintait en cascade. A quoi bon s’y acharner? A s’enliser dans l’illusion d’une non-vie qui ne valait pas la peine de s’y attarder.

1991 - 1998

Ce n’était pas l’ire des siens qu’elle avait fuit. C’était l’Hydre qu’elle fuyait, la folie mortelle, le Sacre d’une cause auquel elle ne comprenait rien. Il lui avait été aisé de leur échapper lorsqu’étourdiment elle gravitait dans l’ombre de Sibel et l’ingéniosité qui la constituait. Elle était douée pour ça Sibel, vivre sous le feu et disparaître, changer son apparence au gré de leur besoin et incarner toutes les grandes tragédies romanesques de leur siècle. Nora avait pris d’elle, à vivre comme une ombre dont le souffle s’éteint. A survire par la grâce d’un instinct propre à ceux qui avaient vécue si longtemps comme des bannies, des proscrits. Elle avait porté le masque de son ancienne apparence. Marginale d’une société qui ne voulait toujours pas des gens comme elle. Ceux chez qui tout repoussait, du timbre de voix jusqu’aux plaies.

1999

La rédemption avait un air de pardon. Le prince était sa nouvelle maison. Si elle porte le nom que Sibel lui avait offert, c’est sous le patronyme de Rosenhart qu’elle renait.

03/02/2024

Ven 1 Mar 2024 - 21:14, Re: et une annoncepk pas

Un titre titre
un tire

La faim s’oublie vite sous le flot du sang ; corps chétif paraît rassasié par un simple lapin, mais quêtera sans doute pire une fois libéré de l’épuisement

Pour l’heure il n’existe plus que les quelques centimètres entre nous, et l’inéluctabilité de quelque chose qui s’effondrera sous peu. Le construire est vain, mais je m’y attache du bout des doigts, comme un mime qui s’enferme dans une boîte invisible. Nul besoin de contact illicite pour que se propagent les messages sous-jacents ; Aster lui-même semble le savoir, non sans regret. C’est un miroir : ce qui s’extirpe difficilement d’entre ses lèvres fait écho au mal apatride sous mes côtes. « Je n’ai pas besoin de le prétendre. » Illogique et à mon tour incompréhensible, j’arrache à la raison ses fondements et dépose entre ses mains chaudes une théorie idiote.  « Les vesperis sont suspendus dans le temps. C’est un raisonnement hâtif — désespéré. Leur corps devrait pourrir, s’éteindre, et pourtant il subsiste. Sans le toucher, mes yeux pourtant coulent le long de son échine, parcourent ce que tout me défend d’effleurer. C’est l’hypothèse de base : nos cellules ne se renouvellent que si elles sont blessées. En cela, tu existes sur ma main, et sur ma gorge, mes doigts en suivent l’ancien trajet, tant qu’elles feront partie de moi. L’odeur du sang s’élève dans l’air, et les cadavres nous entourent. De la même manière que ton cœur ne m’oubliera pas, chaque fragment que tu as touché se souviendra de toi. » L'œil brille, un instant, reflété par la lune entre deux nuages.

03/02/2024

Ven 1 Mar 2024 - 21:14, Re: et une annoncepk pas

Un titre titre
un tire

La faim s’oublie vite sous le flot du sang ; corps chétif paraît rassasié par un simple lapin, mais quêtera sans doute pire une fois libéré de l’épuisement

Pour l’heure il n’existe plus que les quelques centimètres entre nous, et l’inéluctabilité de quelque chose qui s’effondrera sous peu. Le construire est vain, mais je m’y attache du bout des doigts, comme un mime qui s’enferme dans une boîte invisible. Nul besoin de contact illicite pour que se propagent les messages sous-jacents ; Aster lui-même semble le savoir, non sans regret. C’est un miroir : ce qui s’extirpe difficilement d’entre ses lèvres fait écho au mal apatride sous mes côtes. « Je n’ai pas besoin de le prétendre. » Illogique et à mon tour incompréhensible, j’arrache à la raison ses fondements et dépose entre ses mains chaudes une théorie idiote.  « Les vesperis sont suspendus dans le temps. C’est un raisonnement hâtif — désespéré. Leur corps devrait pourrir, s’éteindre, et pourtant il subsiste. Sans le toucher, mes yeux pourtant coulent le long de son échine, parcourent ce que tout me défend d’effleurer. C’est l’hypothèse de base : nos cellules ne se renouvellent que si elles sont blessées. En cela, tu existes sur ma main, et sur ma gorge, mes doigts en suivent l’ancien trajet, tant qu’elles feront partie de moi. L’odeur du sang s’élève dans l’air, et les cadavres nous entourent. De la même manière que ton cœur ne m’oubliera pas, chaque fragment que tu as touché se souviendra de toi. » L'œil brille, un instant, reflété par la lune entre deux nuages.

03/02/2024

Mar 5 Mar 2024 - 5:20, Re: et une annoncepk pas

MONO
DRAMA

nom prénom Takeda no Atsuru dit "Atsuru"

âge 587 ans

pronoms iel/il/lui

génération G5

Clan Immanis

occupation ministre des immanis

faceclaim Dan Heng | honkai star rail

In the silence of a world
wearing a veil of misty rain

Ses yeux de biches et ses attraits de bêtes craintives sont usées dans un art perfectionné avec les siècles : il a une prestance majestueuse, un charisme naturel, des yeux ouragans. Sous le ronron de ses syllabes toujours douces et mielleuse se cache un dessin malhabile : son rire est facile, les joues pouvant presque donner l'illusion d'être rougies par votre simple présence. Vous êtes nécessairement le centre de son monde. Dans la manière dont il roule sous la langue votre prénom, accepte tout vos tords et vos maux : Atsuru sait se donner en spectacle afin de vous offrir l'illusion de n'être que le seul reflet traversant l'océan de ses yeux troublés.

Mais il est surtout doux et peureux, craintif du moindre mouvement brusque; il ne faudrait surtout pas le faire fuir, il faut être doux avec lui : c'est l'image qu'il s'efforce de maintenir, il préfère être celui qui craint de se faire dévorer pour qu'on s'ouvre à lui et qu'il décèle vos faiblesses une fois le dos tourné.

Il trahira sans une once d'hésitation, le monde l'a trop blessé pour qu'il ne puisse un jour être réconforté.
Fatalement chagriné, les yeux vides de tout le sang qui aurait un jour pu couler. Il a aimé un peu trop pour lui-même, désormais las des déboires et de la débauche émotionnelle il n'y a plus que l'amour pour ses pairs : il est prêt à tout, comme une mère nourricière pour subvenir à la protection des siens, de sa progéniture comme celle de tout ceux de sa meute.

Suddenly, I saw how cold
the face of truth could be

Chair 33% 67% Esprit

Physique 22%

Réflexion 42%

Conscience 61%

°　　　•　　.°•　　　 ✯
★　*　　　　　°　　　　　°·
.　　　•　° ★　•

☆

I've been wondering, how far
beyond the sky
the clouds will go

1

Te considères-tu comme le monstre que tu aurais craint autrefois ?

Non au contraire, son ancien lui est sa plus grande crainte. L'humain d'aujourd'hui le terrifie autant qu'il le répugne.

2

Ne sens-tu pas que quelque chose de plus grand que toi t'attend et t'appelle ?

Est-ce son instinct ou Dame Materia ?

3

Que retiens-tu de ta vie passée ?

les souvenirs sont vagues et certainement de mauvais cauchemars

4

Quelle est la chose la plus importante?

autrefois l'harmonie, la paix; aujourd'hui la rage vengeresse de reprendre ce qui nous a été volé.

griffes monstrueuses, appel de noah, les yeux de la bête

immanis aux attributs de cerfs ☆ voix rauque qui détonne assez de son apparence délicate ☆ 1m80 ☆ apprécie les talons et les semelles hautes, l'impression d'être plus grand est bien plaisante. ☆ joue avec ses cheveux lorsqu'il est embarassé ☆ s'il se nourrit principalement de sang d'animaux, c'est tout de même un chasseur opportuniste. Personne ne se refuse à un repas facile. ☆ Faute de ne jamais être retourné sur sa contrée native, il ne sait plus vraiment parler japonais, ni le lire. l'humanité avance bien vite. ☆ n'a aucune compréhension de la technologie actuelle, à forciori afin de pourvoir le joindre en cas d'urgence, il a un téléphone portable. Mais il est éteint et n'a certainement pas le code PIN ☆ les vêtements lui procurent un profond inconfort ☆ ses cornes sont méticuleusement taillées et ornées de bijoux ☆ autrefois fleur bleue, il fût suffisament longtemps malade d'amour pour en être vacciné ☆ conçoit l'idée d'un jour devenir un aurorae quand le monde l'aura définitivement dépassé et qu'il ne pourra plus rien apporter à son clan ☆ passe ses nuits à regarder le ciel étoilé ☆ odorat particulièrement développé, il idenfie les autres par leur odeur.

1437

c'est sur le lit de la rivière Anegawa que naît de Takeda no Atsuru, ou Atsuru du clan Takeda. Fils d'un paysan qui labourera la terre en espérant chaque soir de ne pas mourir de faim le lendemain.

1452

Un beau matin, une faon s'est égaré sur leur parcelle de terre, son père au bord de la mort et famélique pourrait survivre quelques jours de plus avec cette pauvre bête : mais le jeune homme n'a pas le cœur de la tuer, après tout, un jour de sursis de plus n'a pas de grande valeur. Il le relâche. Et le lendemain pleurant la mort de son père, il est surpris par un homme toquant à sa porte.
Une seconde chance lui est offerte.

1440

Son géniteur est un homme nommé Shingen, il est le chef de cette petite meute qu'il a établi au japon. Mais la famine est rude même pour eux. Ils entament un voyage vers le continent et ses terres moins peuplées au nord.

1502

Le froid est bien rustre dans les terres russes, et si la menace de regen est bien moins dangereuse ici, la faim les guettent constamment. L'un des plus jeunes craque et un soir tue un couple d'humain; c'est une chasse au monstre qui s'improvise et ils n'ont d'autre choix que fuir. Certains membres choisissent de rester en Russie malgré les risques.

1532

L'écho du nouveau monde est un espoir pour la meute de se trouver un havre de paix, là bas ils découvrent la forêt luxuriante de l'Amazonie, un terrain de chasse qui demeurera le même jusqu'à aujourd'hui. Ils retrouvent le géniteur du chef de leur meute, Aldred qui a pour ambition de rallier toutes leurs meutes en un clan : les immanis.

1670

Le clan recule et se retire face à l'influence et la présence grandissante de la civilisation, Aldred choisi définitivement de se retirer dans la nature, c'est son premier fils, Shingen, géniteur de Atsuru qui prend la relève pour représenter leur clan.

1720

Suivant leur nouveau chef de meute, ils rejoignent en partie les Etats-Unis afin d'intégrer la cour d'Arkham. Les bruits courent, nombreux sont craintifs à l'idée de se mêler dans une territoire aussi grouillant de vie.

1780

Atsuru apprend auprès de Shingen la politique, contrairement à d'autres il apprécie et admire sa résilience et son contrôle face à leur crainte naturelle de la civilisation.

1812

Assassinat de Shingen par Regeneratio, l'inquiétude est grande dans le clan : l'évidence était désormais irréfutable; s'approcher des humains était une mauvaise idée. Scission entre la meute certains prône le retrait, d'autres apprécient l'idée d'être protégés par la cour. Atsuru saisit cette opportunité pour candidater pour remplacer son géniteur en tant que ministre.

1813

Il est élu sans trop de difficulté, il remerciera Asmodeus pour lequel il lui a promis sa gratitude et sa redevance, mais aussi Yael un ami désormais de longue date. Sa priorité est de rassurer les siens, en s'installant en tant que ministre, il prône l'harmonie et la marginalité des Vesperis face à une société humain qui les dépasse bien vite.

1822

Lors du coup d’Etat du clan Carnis dans la Cour, Atsuru ne s'en mêle pas et l'échec ne le surprend pas. Il les méprise profondément.

1823

S'oppose fermement au pacte de sang, ne pouvait accepter des accords sur des termes humains : une partie de sa meute préfère de sustenir elle-même sur leur terrain de chasse en Amérique du sud, favorisant la chasse d'animaux et de prédateur pour ne pas affecter l'ecosystème, et tantôt les maladroits aventuriers. La cour est bien naïve de croire les humains.

1812

Assassinat de Shingen par Regeneratio, l'inquiétude est grande dans le clan : l'évidence était désormais irréfutable; s'approcher des humains était une mauvaise idée. Scission entre la meute certains prône le retrait, d'autres apprécient l'idée d'être protégés par la cour. Atsuru saisit cette opportunité pour candidater pour remplacer son géniteur en tant que ministre.

1945

Après de nombreux manquements au pacte du sang, l'instabilité effraie de plus en plus Atsuru. Il rejoint Asmodeus dans la nécessité de rappeler la primauté de l'ordre et du contrôle. La cour manque de fermeté.

2016

Favorable à l'extermination des Byrd, le massacre ne lui apporte pourtant aucun soulagement ni aucune gratification. Il craint le pire chaque nouvelle année. Et se lasse de l'hypocrisie tenue par le pouvoir en place qui maintient des accords que personne ne respecte réellement. Il rêve d'un coup d'état.

2024

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